Autant Lima nous avait laissé un souvenir mitigé en 2011, autant cette fois-ci ce fut une bonne surprise en dépit de la courte durée de notre séjour : arrivés en bus de nuit de Huaraz aux aurores le 16 août, nous repartons le lendemain avant le lever du soleil afin d’attraper notre avion pour Sao Paulo.
Nous logeons cette fois-ci dans le quartier de San Isidro, à deux pas du Parque El Olivar qui m’avait intriguée. Notre chambre est disponible malgré l’heure matinale et nous commençons par finir notre nuit avec bonheur, avant d’aller pique-niquer sous les oliviers centenaires du parc adjacent. L’endroit est chouette bien que surprenant ; ce n’est pas un parc fermé comme nous l’imaginions, mais au contraire tout plein d’îlots de verdure entre des maisons, des musées… Il y a même un petit plan d’eau qui fait aussi office de spot wifi, à la grande joie des locaux ! Nous le remontons de haut en bas, non sans quelques arrêts en route notamment à la Maison de la Culture et au musée Marina Nunez del Prado, une sculptrice bolivienne dont le travail nous plaît tout de suite beaucoup.

Le wifi c’est la vie ! (et ce n’est pas moi, qui en suis actuellement privée, qui dirais le contraire…)
Nos chemins se séparent ensuite ; Benoît rentre se poser à l’hôtel et moi je pars à pied en direction du quartier de Miraflorès. Je repasse devant Huaca Pucllana que nous avions visitée en 2011. Aujourd’hui c’est fermé mais le resto au pied des ruines est bien tentant de même que les visites by night. Ce sera pour une prochaine fois…
A Miraflorès je redécouvre avec plaisir la promenade en hauteur qui surplombe l’océan Pacifique. Je marche jusqu’au phare, puis je reviens sur mes pas jusqu’au jardin de l’amour avec sa célèbre sculpture. Je descends ensuite au bord de l’eau afin de regarder de plus près une jetée qui a accroché mon regard. Il s’agit en fait d’un resto assez chic et pas très cher, là encore une adresse à retenir pour un prochain séjour à Lima !
Je retrouve Benoît à l’hôtel et nous profitons de la terrasse adjacente à la cuisine pour dîner dehors, face aux lumières de la ville. Quel plaisir décidément de disposer d’un balcon… C’est ce qui nous manque le plus à Paris. Nous ne faisons pas long feu ensuite, demain une longue journée de voyage nous attend !
Je vous suis toujours, même si je ne vous ai pas beaucoup écrit ces derniers temps… J’aime toujours autant l’Amérique du Sud ! A l’heure qu’il est, vous êtes forcément rentrés, est-ce que ce n’est pas trop dur ? Si, j’imagine… Peut-être avez-vous même repris le chemin du travail ! A très bientôt j’espère. Bisous
Coucou Laurianne,
Nous sommes rentrés depuis 2 semaines déjà, et sans être totalement horrible le retour nous laisse tout de même une impression mitigée ^^
Il faut que l’on essaie de se voir, je t’envoie un mail de ce pas.
Gros bisous !
Aurélie.
Je reprends l’habitude des voyages….. au petit déjeuner…. nous sommes rentrés hier!
C’est un joli reportage d’un lieu que je ne connais pas du tout, merci pour la découverte!
Je viens de lire que vous êtes rentrés, je n’ose imaginer le changement de vie quotidienne, bon courage alors!
Bizzzz!
Oui nous sommes rentrés il y a deux semaines et demi maintenant… Même si on essaie de profiter au maximum des avantages de la vie parisienne, je t’avoue que le retour est malgré tout un peu dur. La routine métro-boulot-dodo a tendance à se ré-installer bien vite…
Hâte de lire la suite de vos pérégrinations !
Grosses bises
[…] Et enfin notre journée à Lima, c’est par là ! […]
Lima est une ville qui a plusieurs visages. Le vieux centre fait très sud américain, Miraflorès est plus occidentalisé. Et puis il faut pousser jusqu’au quartier Barranco, je veux bien parier que celui-là sera bientôt le quartier branché où les bobos lacheront des petites fortunes pour se loger.
Au final, j’ai personnellement préféré Lima à Quito (mais il semble que je sois une exception à ce propos).
Bises (depuis … Port Camargue (!!), destination moins exotique que d’habitude, mas pleine de bateaux et j’adore)
Je pense que notre mauvaise première impression de Lima en 2011 était liée au fait que nous ne connaissions pas du tout l’Amérique du sud… Nous avions été très surpris du nombre de policiers dans les rues, des vigiles en gilets pare-balles etc. Maintenant on a ça même à Paris, alors (cynisme on !)
J’avais repéré le quartier de Barranco aussi, mais pas le temps d’y aller… Next time ! San Isidro en tout cas fut une agréable surprise.
Profite bien de Port Camargue ! Moi je t’écris de Berck-sur-Mer, alors… 😉