Incroyable mais vrai, nous avons survécu à nos « trois semaines de l’enfer ». Nous nous sommes mis en mode « machines de guerre » et avons donc triomphé de tout de que nous devions faire. Le déménagement a été géré de main de maître (à 16H, tout était fini), Benoît a travaillé travaillé travaillé et réussi ses deux examens, et quant à moi j’ai finalement bien apprécié d’être la seule maîtresse à bord au boulot, en dépit d’horaires à rallonge. Il ne me reste que Lire la suite