Nous quittons donc l’Express Côtier à Kirkenes, sous un ciel plombé. Kirkenes nous fait rapidement l’impression d’être une ville grise et morte, impression renforcée par le fait que nous y arrivons un dimanche, jour où tout est fermé. Nous sommes tout au nord de la Norvège, à quelques kilomètres de la frontière russe, et l’ambiance est bien différente de celle des autres villes norvégiennes que nous avons visitées jusque là. Lire la suite