Poser 4 jours de congés pour obtenir 9 jours de vacances, la semaine de Pâques tendait les bras aux voyageurs que nous sommes ! Oui mais… Où partir ? Un petit brainstorming de couple plus tard, et nous portions notre choix sur La Plagne, en Savoie, histoire de profiter encore un peu de l’hiver.
Cette semaine fut l’occasion pour nous de renouer avec le ski, puisque cela faisait 8 ans (8 ans !) que nous n’avions pas mis les pieds sur une piste… Heureusement,cela ne s’oublie pas, et nous avons pu nous faire plaisir d’autant plus qu’il avait neigé la veille et le jour de notre arrivée. Bon, par contre nous avons vu fondre la neige au fur et à mesure de la semaine ! Dévaler les pistes immaculées, comme paillettées par le soleil, et sentir le vent fouetter son visage est décidément toujours aussi agréable…
Durant notre séjour avait lieu la première édition du festival « Subli’Cîmes », avec des activités gratuites proposées sur 6 sommets du domaine… Nous avons ainsi rencontré des rennes à la Rochette, barboté dans un jacuzzi et testé les massages face à l’Arpette et j’ai sauté dans le vide (et dans un air bag géant… !) à la Roche de Mio. Voilà une super initiative, et la bonne nouvelle c’est qu’ils remettent ça l’année prochaine !

Big air bag à la Roche de Mio – on fait monter la tour à la hauteur souhaitée (entre 4 et 13 mètres), et on saute ! Impressionnant…
Entre deux journées de ski alpin, nous avons également testé d’autres activités avec l’idée que cela nous permettrait de nous reposer… A tort, au final on a souvent été plus crevés après ces activités-là qu’après une journée de ski alpin ! Nous avons ainsi arpenté la station à pied (et un peu en télécabine !) de Plagne Villages à Montalbert, en passant par Plagne Centre, Aime 2000, Bellecôte…
Nous avons bien rigolé durant ces vacances, mais la palme du fou rire eut lieu durant notre expérience de ski de fond. Le ski de fond, j’avais testé une fois sur aiguilles de pin il y a bien longtemps, et jamais sur de la neige. Quant à Benoît, ça faisait bien 15 ans qu’il n’en avait pas fait… Bon, ça a fini par (re)venir, mais qu’est-ce qu’on a pu tomber sur ce chemin soit totalement fondu, soit archi verglacé ! Belle rigolade en tout cas 😉
Nous avons fait honneur à la gastronomie savoyarde, entre tartelettes aux myrtilles, crozets, Beaufort et saucisson pour Benoît… Et comme toujours nous sommes rentrés à Paris avec des provisions pour prolonger un peu les vacances 😉
Et puis, ce séjour à La Plagne restera dans nos mémoires comme celui où nous nous sommes (un peu) transformés en oiseaux… Nous avons effectué notre baptême de parapente, que j’appréhendais énormément mais qui s’est avéré être un vol d’une douceur extrême… Depuis, nous rêvons de recommencer !
Ces derniers magnifiques jours de Pâques ensoleillés, Jimmy et moi nous disions justement “Qu’est-ce que je n’aimerais pas aller au ski en avril, quand le printemps est là, que tout bourgeonne et qu’on n’attend plus que l’été” !!!!!!!! Bon, ben, vous n’avez pas l’air traumatisés, hein… En tout cas, non décidément, cette neige en avril, je la troque volontiers contre du sable chaud !!!!! Bises bises
Lol, nous on avait été un peu frustrés de ne pas voir la neige cette année… et avril est une période que j’aime bien à la montagne, car il faut beau (et cette semaine de Pâques n’a pas dérogé à la règle). Moi ce que je n’aime pas, c’est le ski en février, quand il fait super froid et qu’il faut attendre des heures à chaque remontée mécanique tellement il y a de monde 😉 arf, il en faut pour tous les goûts hein ! Ceci étant maintenant on attend nous aussi le sable chaud avec impatience… même si ça ne va pas être pour tout de suite !
Grosses bises et à bientôt 🙂
Aurélie.
[…] chance de découvrir la Réunion en famille, et en avril Benoît et moi avons pris la direction des pistes de ski savoyardes, que nous avons vu fondre au fur et à mesure de notre séjour ! Le mois de mai fut marqué par […]
[…] fond qui relie Plagne Bellecôte à Planbois en passant par les Frasses. Nous avions fait le début avec Benoît en 2015, en ski de fond, mais nous avions rapidement dû faire demi-tour car c’était très verglacé. […]